Alors que la si justement nommée « loi Duplomb » semble, contre toute attente, ne pas battre de l’aile, partons à la rencontre d’un « grand ours » qui veille sur celles que cette loi menace un peu plus. Direction les Pyrénées, donc, dans le massif du Néouvielle, pour faire connaissance avec Julien et ses abeilles noires, du cru, résistantes et autonomes :
www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/co2-mon-amour/co2-mon-amour-du-dimanche-11-mai-2025-3028010
Plus proche de nous, il y a le rucher école de Réalmont, qui forme des apiculteurs amateurs ou futurs professionnels, et dont le succès ne se dément pas. France Inter, à l’occasion d’un focus sur le Tarn, lui a récemment consacré un bref reportage, précédé d’un autre sur un lieu de soins palliatifs pas comme les autres, la Maison Astrolabe, à Cahuzac-sur-Vère. Le parallèle, involontaire, est frappant, entre les soins palliatifs prodigués par des infirmières aux humains atteints de maladies incurables et les soins prodigués par les apiculteurs aux abeilles. Avec cette définition des soins palliatifs donnée par l’infirmière interviewée dans le premier reportage – « tout ce qu’on peut faire quand il n’y a plus rien à faire » – qui paraît applicable aux efforts de tous ceux et toutes celles qui veillent aujourd’hui sur les abeilles et, plus largement, sur le vivant :
www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/carnets-de-campagne/carnets-de-campagne-du-mercredi-05-mars-2025-3383011
Tout cela en guise d’hommage à nos apiculteurs (qui pleurent) et à nos abeilles (qui meurent).
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Plus proche de nous, il y a le rucher école de Réalmont, qui forme des apiculteurs amateurs ou futurs professionnels, et dont le succès ne se dément pas. France Inter, à l’occasion d’un focus sur le Tarn, lui a récemment consacré un bref reportage, précédé d’un autre sur un lieu de soins palliatifs pas comme les autres, la Maison Astrolabe, à Cahuzac-sur-Vère. Le parallèle, involontaire, est frappant, entre les soins palliatifs prodigués par des infirmières aux humains atteints de maladies incurables et les soins prodigués par les apiculteurs aux abeilles. Avec cette définition des soins palliatifs donnée par l’infirmière interviewée dans le premier reportage – « tout ce qu’on peut faire quand il n’y a plus rien à faire » – qui paraît applicable aux efforts de tous ceux et toutes celles qui veillent aujourd’hui sur les abeilles et, plus largement, sur le vivant :
www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/carnets-de-campagne/carnets-de-campagne-du-mercredi-05-mars-2025-3383011
Tout cela en guise d’hommage à nos apiculteurs (qui pleurent) et à nos abeilles (qui meurent).