Jusqu’où s’engager pour le vivant ? 3. S’interposer

Quand rien n’y fait, ni les milliers d’études scientifiques accumulées, ni les rapports alarmants du GIEC, ni les marches pacifiques, quelle attitude adopter : se résigner ou passer à d’autres modes d’action ? Et jusqu’où aller et avec quelle efficacité ?
Au Service du Vivant propose une série d’écoutes sur la question de l’engagement, de l’obéissance et de la désobéissance en matière de défense du vivant, non pour faire l’apologie de tel ou tel mode d’action, mais pour permettre de réfléchir à ce qui est aujourd’hui un fait de société.
L’écoute de cette semaine est un entretien avec Paul Watson. Promoteur de la « non-violence agressive », le fondateur de Sea Shepherd (« Berger des Mers »), surnommé le « pirate », a passé son existence à défendre la biodiversité marine, notamment les baleines, en s’interposant, en mer, entre ceux qu’il représente (les êtres marins) et les tenants de pratiques de pêche destructrices et illégales. Il revient dans cet entretien sur les origines de son combat, et sur sa conception, sans compromis, de la défense du vivant :
www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/de-cause-a-effets-le-magazine-de-l-environnement/capitaine-paul-watson-8327560